Guidances

Le Helek, révélateur des vortex de Temps

Comment une mesure de temps datant de 3500 ans peut-elle prendre en compte la vitesse de la lumière ?

Le Hélek est bien plus qu’une simple mesure de temps ! Selon la perspective hébraïque, le Hélek est à la fois une mesure de la Cohérence Cosmique et une compréhension du pourquoi quelque chose qui n’était pas puisse apparaitre à partir Eïn (il n’y a pas). Comment le RIEN peut-il engendrer le « Il y a » YECH…?

Pour la pensée humaine cette notion est irrationnelle, mais la Kabbalah nous enseigne que l’âme humaine, la Neshama, contient le point nucléaire de notre être, et c’est le Helek qui est déjà destiné au Olam HaBa (le monde à-venir). « Kol Israël Helek Le-Olam Haba » ( Tout Israël a un Hélek du monde à-venir) et qui est appelé Hélek Eloha Mimaal (une part du dieu d’en-haut – ou Ange d’en haut – Metatron).

En hébreu Hélek a deux signification :

Couler :
« Lorsque le peuple entra dans la forêt, il vit du miel qui coulait (Hélek), mais nul ne porta la main à la bouche, car le peuple respectait le serment. » Samuel 14 : 26

Voyageur :
« Un voyageur (Hélek) arriva chez l’homme riche. Et le riche n’a pas voulu toucher à ses brebis ou à ses boeufs, pour préparer un repas au voyageur qui était venu chez lui; il a pris la brebis du pauvre, et l’a apprêtée pour l’homme qui était venu chez lui. » Samuel 12 : 4

Qu’est-ce que cela évoque ?

Pour le traité Sanhédrin, cela révèle le Temps de la Résurrection

Les « 13 articles de foi » rédigés par Maïmonide dans son introduction au chapitre Hélek (chapitre X du traité Sanhédrin) en 1168, précisent dans le 13ème article :  » Que les morts ressusciteront, selon la volonté du Créateur, béni soit Son nom. »

Le « peuple d’Israël » ( le Hélek) est comparé à la corde de Dieu (« Ki ‘Helek Achem Amo, Israel ‘Hevel Na’halato »)… Une corde qui ne rompt pas car elle est tressée, une corde qui est un instrument de mesure, une corde qui permet de monter et descendre. Le Hélek est ce « point dans l’âme » de l’humain adamique qui ne rompt pas, qui est une mesure pour le Créateur, et un moyen de locomotion pour la Créature.

Ainsi le calendrier hébraïque, n’est pas simplement un outil pour mesurer le temps, il est aussi un révélateur des vortex du Temps.

A partir de ce point qui permet un calcul mathématique précis, il est possible de mettre en cohérence la Volonté du Créateur et l’âme de la Créature.

Le Hélek est une particule de temps équivalant à 3,333 et selon la Kabbale, cette « part » est essentielle pour aller dans le olam haba (monde à-venir) qui n’est autre que la véritable « Pleine Conscience », c’est à dire l’accès au Futur Supra-luminique. La Conscience supra-luminique est une Conscience du Futur en terme de Potentiels. C’est la raison pour laquelle rabbi Nachman de Breslev dit : « Souviens-toi de ton Futur ». C’est un futur omniprésent et non un futur hypothétique de l’après maintenant. C’est la raison pour laquelle il est appelé « Monde à-venir » Olam haba.

Selon la Kabbale le grand « fauteur » n’a pas accès au Olam haba (monde futur), c’est-à-direle Futur supraluminique, son âme est karet ( retranchée). « Ein Lo ‘Hélèk Lé’olam Haba » (il n’a pas de part au monde futur). Le retranchement de l’âme est comparable à la rupture d’une branche, coupée de sa racine et qui n’est plus rattachée à sa source de vie. C’est la rupture de la corde qui réunit la Neshama au Créateur. Si ce « fauteur » fait Techouva (retour), par ce repentir, lorsqu’il quitte ce monde, il lui est possible de rejoindre les Tsadikim (Justes) de toutes les générations passées, afin de pouvoir mériter le droit au monde futur. Le retranchement de l’âme va interagir sur toute la descendance, car il y a le Hélek d’un homme et celui de sa famille.

Ceci est aujourd’hui étudié par la science, l’épidémiologie exprime exactement cette réalité. Comportement et styles de vie, influent sur les enfants, petits enfants et au delà.

« Tout ce que nous respirons, mangeons et buvons, notre activité physique, notre stress… a un impact non seulement sur notre santé, mais peut également se répercuter sur la santé de nos futurs enfants, de leur naissance jusqu’à l’âge adulte. » Pr de génétique Claudine Junien INRA)

L’ADN n’est pas modifié, mais le le gène est devenu actif. L’adaptation à l’environnement se transmet de génération en génération. Sans passer par la case ADN. Nos enfants seront ce que nous étions, en vertu de la Trace que nous avons laissé. C’est la raison pour laquelle les Hathor nous ont invité à surveiller la Trace :

De la partie de l’âme qui est Nefesh : les actes
De la partie de l’âme qui est Rouah’ : les paroles
De la partie de l’âme qui est Neshamah : les pensées
De la partie de l’âme qui est H’ayah : les Intentions profondes

« Nous allons aujourd’hui vous demander de parvenir à conscientiser la totalité de votre trace au sein de la bibliothèque du souffle. Car le but de votre incarnation est de parvenir à cette maîtrise. Le pourrez-vous ? Saurez-vous maîtriser cette force de rayonnement qui est la votre au profit de cette connaissance qui vous semble inutile, celle de la trace que vous laissez par votre expression. » Les Hathor 

Cela est dû au Hélek, la particule de Temps.

Le Helek, preuve ultime de notre passé extraterrestre

Nous serions les descendants d’extraterrestres…?

Jean Sendy, célèbre et très respecté ufologue français, semblait avoir trouvé un indice plutôt intéressant… Sa trouvaille ? Une simple mesure du temps utilisée dans l’Antiquité, plus particulièrement par les hébreux et leur calendrier, et qui se nomme le Hélek.

Hélek signifie textuellement « partie » et s’écrit : Halakim au pluriel. Il peut aussi signifier » volume » pour un livre, comme c’est le cas du Zohar divisé en helek.

Le Hélek est une unité de temps qui correspond au 1 / 1080ème d’une heure.

Celle-ci, citée dans le livre sacré du Judaïsme, la Torah, tient son étrangeté dans son incompréhensible précision.

Dans le passage où il est évoqué, la journée est divisée (comme nous) en 24 heures, chaque heure en 1080 regalim « instants » (rega au singulier) et chaque rega en 76 helek.

Soit des particules de temps équivalant à 3,333…/ 76 = 0,0438596491 secondes, soit approximativement 1/20e de seconde. C’est à l’aide de ces unités de mesure, que les experts pouvaient calculer avec précision l’instant de la lunaison de chaque mois, ou « Molad », et déterminer le premier jour du mois, ou « Roch-Hodech ».

Dans le calendrier hébraïque, le 1er jour du mois porte le nom de Roch-Hodech, la « Tête du Mois » en hébreu. Ce jour est appelé la « Néoménie » chez les Grecs, et la « Calende » chez les Romains.

Au regard de la loi juive, la Sanctification du 1er jour du mois hébraïque dépend de l’apparition du nouveau croissant de lune. C’est cet instant précis qui détermine le Molad, soit l’instant de la nouvelle lunaison. De cette façon, lorsque le nouveau « Molad » était déterminé avec exactitude, il était possible pour les savants de définir quand tombera le premier jour du mois lunaire ou Roch-Hodech.

Le « Molad » est l’instant précis de la conjonction lunaire, correspondant au début de l’alignement de la lune entre la terre et le soleil. Cet alignement cosmique se reproduit une fois tous les 29 jours 12 h 44 minutes et 3 secondes 1/3, dans le système du calcul moyen de cet instant appelé « Molad ».

C’est la subdivision de l’heure en 1080 qui permet des simplifications de calcul car ce nombre est divisible par 2, 3, 4, 5, 6, 8, 9 10 etc.

De plus, le Hélek est une unité de temps élémentaire permettant d’exprimer la lunaison en un nombre entier d’unités. Toutes les opérations nécessaires à l’établissement du très complexe calendrier hébraïque se font donc en nombres entiers, sans erreurs d’arrondi possible.

Après un rapide calcul, on se rend compte qu’un helek vaut approximativement 0,043739893 seconde !

Comment un peuple si ancien pouvait trouver une quelconque utilité avec une mesure du temps si faible et si insignifiante pour n’importe qui. Même nous, Homme vivant au Troisième millénaire, nous ne parvenons pas à se la représenter sans utiliser un appareil de mesure adéquat et suffisamment précis.

L’Origine du calendrier et des unités de temps

Les Égyptiens de l’Antiquité utilisaient un découpage de la nuit en douze heures. Par la suite, ils ont aussi divisé le jour en douze heures ; suivant les saisons, ces heures étaient plus ou moins longues. On peut penser que faire douze subdivisions permettait de diviser facilement la journée en tiers, en quarts ou en sixièmes. De plus, douze était déjà utilisé pour subdiviser l’année en mois ou lunaisons, par observation des cycles lunaires au cours de l’année (voir histoire de la mesure du temps).

Il est en fait très probable que la division se faisait en fonction de l’observation de la position du soleil dans le ciel, à l’œil nu ou avec un instrument. La position du soleil servait aussi à l’orientation sur terre et sur mer.

D’autre part, la seconde, apparue chez les Babyloniens, correspondait à peu près à la période des pulsations cardiaques au repos, faciles à compter, et appréciée aussi par la suite pour la définition du rythme en musique. L’heure comptait alors environ 3 600 secondes qu’il était facile de diviser en multiples de 60, qui est aussi un multiple de 12. Le symbolisme du nombre 12, et la facilité de le diviser en 2, 3 ou 4, et la facilité de diviser la minute et l’heure en 5 dans ce système permet de n’utiliser que des entiers aurait donc conduit à la création du système sexagésimal pour diviser l’heure en minutes et secondes égales et entières.

Une journée comprend généralement 24 heures de 60 minutes ou de 3 600 secondes. Cependant la durée de certains jours du calendrier peut différer de cette durée de plus ou moins une seconde, en fonction des ajustements qui peuvent être décidés suivant l’évolution de la rotation terrestre et qui, suivant les cas, allongent ou raccourcissent la durée de la dernière minute de la journée calendaire. La durée de la dernière heure de ces jours (généralement le 30 juin et le 31 décembre) peut donc varier de plus ou moins une seconde.

L’origine du Hélek

Les Textes de la Torah nous révèlent que Dieu enseigna à Moïse,sur le Mont Sinaï, que la longueur du mois lunaire est de 29 jours, douze heures et 793 halakim. Et que la lune ne peut se renouveler en moins de 29 jours et demi, 2/3 d’heure et 73 halakim.

La Torah a été révélée il y a environ 3 000 ans. Et Jean Sendy nous fait habilement remarquer qu’au 18ème siècle, la science était encore loin de parvenir à évaluer le temps en millisecondes. En effet, le premier chronomètre de John Harrison (vers 1730) possédait encore des erreurs significatives sur les secondes. Les sceptiques diront que les hébreux ont simplement inventé ce chiffre plus par commodité et que, de ce fait, il ne correspondrait à rien. Mais est-ce le cas ?

Pas vraiment. Si l’on s’amuse à multiplier un helek par la vitesse de la lumière (égale à environ 300 000 mètres / seconde), on obtient environ 13 000 helek / seconde.

Et on sait que ce chiffre « 13 » était très symbolique pour de nombreux peuples, dont les hébreux. Les numérologues spécialistes des écrits sacrés ont constaté que la valeur numérale de YHWH (qui représente le tétragramme, c’est-à-dire le « nom propre » de Dieu) est 26, soit 2 multiplié par 13.

Il est dit, dans la Torah, que Dieu est ehad (« Un »), et la valeur de ce mot est 13. Ce nombre apparait à de multiples reprises que nous ne pouvons pas tous les énumérer, devant l’énormité du travail. On retrouve également ce chiffre dans la science en générale et dans l’astronomie en particulier : le volume de la Terre est de 1 / 13.10^5 et celui du Soleil est de 1 / 13,01.10^5.

Mais là encore, on pourrait inlassablement se dire qu’il ne s’agit que d’étranges coïncidences superstitieuses. Ce dernier indice devrait cependant annihiler toutes suspicions possibles.

Lorsque Moïse monta sur le Mont Sinaï, Dieu donna au Prophète le décompte du temps qu’il convenait d’adopter. Le Tout-Puissant lui dit que la durée d’une lunaison est d’exactement de 29.5 jours 2/3 d’heure et 73 halakim. Voici les données fournies par Dieu :

2/3 d’heure : 2/3 x 1080 = 720 halakim
Au total : 720 + 73 = 793 halakim
793/1080 = 0.734259 heures
Soit : 0.734259/24 = 0.03059 jours
On ajoute à cela les 29.5 jours
Au total : 29.5 0.03059 = 29.53059 jours

Que dit la science ?

Carl Sagan, chef de recherche à l’institut spatial américain déduit de ses recherches que la durée de renouvellement de la lune est de 29.530588 jours, le chiffre même obtenu dans la Thora.

D’autre part, pour d’autres chercheurs, il apparaît de manière flagrante que le Hélek serait l’unité de temps la mieux adaptée pour les calculs précis des distances spatiales sans erreurs d’arrondi puisqu’il correspond à l’unité de la vitesse lumière… (donc à l’unité idéale pour voyager dans l’espace…)

Ces résultats étonnants nous amènent donc à d’autres questions.

Comment Moïse, aurait-il pu inventer cette unité de mesure temporelle ? Et surtout quel besoin réel aurait-il eu d’utiliser une fraction de temps aussi précise que le Hélek à une époque ou personne ne se souciait d’être à une heure prés ?…

Les Hébreux, ce peuple de nomade, qui ne possédaient aucune technologie de pointe, connaissaient parfaitement la durée d’une lunaison 3500 ans avant qu’on ne l’a redécouvre avec nos appareils de mesure très sophistiqués !

Jean Sendy cherche alors la manière d’où ce peuple tirait de telles connaissances. Pour lui, l’explication est à chercher du côté de l’espace. Selon ce théoricien, ce sont les extraterrestres qui ont créé l’humanité en mélangeant les gênes des hommes de Cro-Magnon avec les leurs.

Ensuite, au cours de l’histoire de l’humanité, au fil des années ils seraient revenus sur Terre pour nous apporter les technologies nécessaires à notre évolution. Les peuples se seraient alors rappelés de quelques données scientifiques fournies par leurs créateurs pour les incorporer à leurs livres sacrés.

Selon le livre de Jean Sendy : 

Dieu a créé avec Son Amour qui est Temps

Ainsi le Hélek est aussi une particule d’Amour Divin.

« Dire que le Temps Absolu, vertical est Amour, c’est ne plus rien comprendre au temps qui passe … Et pourtant, le temps de l’histoire, horizontal, n’est que la manifestation de cet Amour singulier de Dieu qu’il partage avec Elle, son émanation, dans la pluralité.

L’Amour/Temps pré-existait avant la Création du monde des Cieux et de la Terre. la « double essence Unique » de Dieu Etait… de tout temps… Il ne restait plus qu’à créer un Vide pour que cet Amour/temps s’exprime en Bienveillance/Espace.

Ce Vide une fois créé devait se remplir, et par contraction de Son Essence, Dieu a habillé ce Vide de la Trace de Lui-même émané, qu’il a laissé en s’annulant devant Sa Création. Cette Trace, c’est l’Amour/Temps qui s’exprime dans la verticalité de chaque être. » – Guidance des Hathor

Je crois que vous avez compris la Tri/Unité du Hélek qui est à la fois :

  • – Une mesure d’un vortex de Temps Vertical, un « vortex/cortex » qui est une porte ouverte sur le monde de la Conscience Subliminale.
  • – Une mesure de temps Horizontal, qui va permettre d’établir un calendrier juste et aligné sur le Temps cosmique et révéler les vortex de temps qui vont permettre d’établir une proximité avec le monde supérieur et se rapprocher du Créateur.
  • – Le « jour » donné en cadeau.

« Le coeur se languit de la source, la source elle-même désire le coeur. Le coeur a deux maladies, le soleil qui le pourchasse et le brûle et le désir de nostalgie de la source qu’il veut atteindre. Quand il n’aperçoit plus la source, il s’émeut, car il tire toute sa force vitale de la source. Cette source n’a pas de temps, car elle est plus haute que le temps du monde. Mais comment la source peut-elle exister dans le monde, car rien n’existe que dans le temps ? Tout le temps de la source ne vient de ce que le coeur lui offre un jour en cadeau. Lorsque le jour touche à sa fin, le coeur et la source se mettent à chanter ensemble. » – Rabbi Nachman de Breslev

Ce n’est peut-être pas la preuve d’un passé extraterrestre, mais c’est effectivement ce qu’il nous reste de la Tradition primordiale….

Milena@OR

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