Guidances

La double nature du commencement

Guidance des Hathor

La première question qui s’est imposée suite à la révélation des Hathor était : Pourquoi faut-il aller chercher au delà de l’amour que nous croyons atteindre et laisser cet Amour à Dieu ?

BERECHIT le premier mot de la Genèse est traduit par « Le commencement ». Mais il veut dire deux commencements

Deux RESHIT, deux est la réalité du commencement. Tout est double mais, ne l’oublions pas 1+1=1 ..

C’est la raison pour laquelle nous ne voyons pas le deuxième soleil… C’est aussi le secret des univers jumeaux.

En réalité c’est que la fin et le commencement sont les deux aspects d’une même réalité…

Le monde des 10% et le monde des 90%

Dans un channelling de Kyeon, Lee Carrol nous dit :

« L’énergie de création est au milieu. Cette énergie de va-et-vient, de tire et pousse, que nous avons appelé « énergies-jumelles », est au centre de chaque galaxie. »

« Il y a un phénomène étrange dans la galaxie. Il semble qu’elle bouge comme une plaque. Comme si les étoiles étaient collées sur elle. Tout tourne en même temps. Il doit y avoir une sorte d’énergie qui crée cette spécialité ou ce phénomène. »

« La partie quantique du 90 % de l’ADN est deux choses à la fois. Elle est pleine d’informations ésotériques et intemporelles. C’est le modèle original et quantique de tout ce que vous avez été et de tout ce que vous êtes, depuis votre première incarnation sur cette planète. »

« Votre ADN individuel contient des séries d’instructions utiles à votre incarnation actuelle, puisque chaque incarnation individuelle a été enregistrée dans votre propre cristal des Archives akashiques. L’on pourrait dire que c’est la semence de l’empreinte créatrice et bienveillante de toute la Création elle-même. Tous vos talents sont là : expériences de vie, connaissances, sagesse, etc., même si ces choses ne sont pas visibles ou actives dans votre incarnation actuelle »

Nous évoluons dans la réalité du monde de 10%… C’est à dire que 90% de ce qui est, on ne le voit pas, on ne le ressent pas. nous vivons « under the dome » sans réaliser que ce dôme est vivant, et qu’il nous renvoie tout simplement ce que nous rejetons. Nous ne sommes pas dans le partage gratuit, nous avons toujours un intérêt dans tout ce que nous entreprenons, même les bonnes actions. Cet intérêt pour notre satisfaction, c’est ça l’idolâtrie. Et même ceux qui se sacrifient pour le bien des autres, ils sont encore dans une forme de satisfaction dont ils n’ont pas conscience… parce qu’en réalité le bien et le mal, l’ascension et la chute, tout cela n’est que vue de l’esprit. Cela ne veut pas dire qu’il faut faire le mal… Cela veut dire que quoi qu’on fasse, on a rien compris. nous n’inventons rien, nous ne créons rien, tout existe déjà dans le monde des 90%..

Le Rav Berg, disait de la réalité des 90% :

« Elle est comme une danse à la frontière de la conscience, comme un rêve merveilleux, dont on arrive pas à se souvenir. Si nous avions accès à cette réalité, nous aurions le pouvoir de créer à partir du chaos. Nous pourrions manipuler les informations génétiques qui se trouvent dans le germe et transformer l’arbre tout entier. »

En réalité nous sommes des vases qui désirons se remplir, parce que le Désir est la matière qui nous constitue.

Avant le « commencement » il n’y avait que l’Energie infinie, une force immobile dont la seule volonté était de partager à l’infini, car la nature de cette énergie était la Plénitude sans fin, la Joie sans limites.

Elle était et est, et sera, la cause primordiale, il n’y a aucune autre Cause que cette énergie infini. Et le seul effet c’est le vase… c’est à dire nous…

L’effet, le Vase, comporte deux aspect, un aspect féminin et un aspect masculin, un positif et un négatif.

L’effet est strictement double… Il est tout simplement le « Désir de Recevoir »..

Si l’on pouvait voir le monde des 90%, on se rendrait compte que le vase est Lumière… « Et la Lumière fut »…Nous verrions qu’il n’y a qu’une seule réalité et deux intelligences.

Le vase a hérité de la nature de son créateur, mais l’essence même du Désir est de provoquer la culpabilité, la honte.

Pour la Kabbale :

L’Univers fut créé du néant à partir d’un unique point de lumière. Ce néant est appelé le Monde infini. Le Monde infini était empli de Lumière infinie. La Lumière fut alors comprimée en un unique point, créant l’espace primordial. Au delà de ce point, rien n’est connu. C’est pourquoi ce point est appelé le commencement. Après la contraction, le Monde infini émit un rayon de Lumière. Ce rayon de Lumière s’est étendu rapidement. Toute la matière a émané de ce point. – Rabbi Isaac Louria XVIème siècle

En se rétractant pour créer un point de vide, la Lumière a donné au Vase le temps et l’espace dans lesquels développer sa propre nature divine. Pour offrir au Vase la possibilité de créer sa propre plénitude, le Monde infini fut découpé en pièces, et transformé en un puzzle…

DEUX FOIS 13 = 26 le chiffre du tétragramme sacré YHVH

L’ attribut quantique qui est la 13ème mesure de l’homme dont nous parle Cordivéro dans « Le palmier de Deborah », est sans cesse renouvelé, car il se nourrit de l’énergie infinie… Cette réalité du 13ème son, fait que le vase peut enfin recevoir sans éprouver de honte.

L’effet se nourrit de la cause.

Rien ne disparait, la Cause première est intarissable.

C’est un flux constant qui va et qui vient, mais nous ne voyons qu’une partie du trajet. Nous sommes tellement habitués à réfléchir en terme de linéarité qu’on arrive plus à imaginer que la fin nous amène au commencement…

En réalité, il n’y a ni commencement ni fin, pour l’effet, il n’y a que va et vient entre un point Alpha et un point Omega.

La fin existe déjà dans le commencement…

Ce qui revient à dire que lorsque l’homme a gravi les échelons des 13 mesures, il lui reste à revenir à son point de départ, il n’y a pas de finalisation, c’est une route sans fin que l’on parcourt de façon circulaire en montant d’un cran à chaque nouveau commencement… cela ne s’arrête jamais… On est jamais arrivé …! On est jamais infiniment nourris.

Nous sommes tellement absorbés par notre Désir de recevoir, qu’il a fallu inventer la mort, pour que nous ayons l’impression d’être sur un chemin, mais il n’y a pas de chemin, il n’y a que des carrefours …

Alors pourquoi ceci aurait un rapport avec l’amour ?

Parce que l’Amour est …

C’est nous qui n’y sommes pas.

Parce que l’Energie infini est, c’est nous qui évitons de nous remplir, malgré le désir ardent que nous en avons.

Et si nous étions dans un véritable sentiment de plénitude, l’amour on en parlerais même pas, tant on serait occupés à développer nos capacités psychiques et spirituelles… Pour nous-même, mais dans un esprit rédempté qui sait que moi c’est l’autre et que l’autre, c’est moi…. Que 1+1=1.

N’est-on pas en train de nous dire que le plus important est de sortir de la matrice?

Puisque de toutes façons, l’Amour Est…

« Ne recherchez plus ce que vos sens peuvent réaliser mais imaginez l’Inimaginable et vous verrez jaillir en vous une nouvelle puissance de joie et de sérénité. N’essayer plus de copier au mieux de vos possibilités, allez au delà de la perfection pour dépasser cet absolu qui, en vous, créé une distance. Qu’y a t-il au delà du point zéro ? Regardez le sablier, comme il ressemble à la constellation d’Orion et vous comprendrez. Le 13 ème Son est celui qui tait les 12 autres. » Les Hathor

Imaginez l’Inimaginable … Car l’imagination est le remède contre l’imaginaire falsificateur, à l’origine de toutes les substitutions.

L’art exprime très bien cette notion de « au delà de la perfection »

Les japonais ont fait un art de certains actes banals comme l’arrangement des fleurs ou le service du thé.

Mais la notion d’absolu nous confronte à l’absurde, pourtant c’est la condition de notre expansion de conscience, mais doit-on s’arrêter là ?

Au delà de l’absolu qu’est-ce qu’il y a ?

Un espace absurde

« Le monde est arc bouté sur un espace absurde qui déploit une mélodie de temps qui vous parait infini alors que tout cela n’est qu’un instant. Seul cet instant est infini. L’instant d’un Souffle. » Les Hathor

Chez SARTRE, le sentiment de l’absurde est au cœur de l’expérience existentielle. Pour Albert CAMUS, « L’Absurde naît de cette confrontation entre l’appel humain et le silence déraisonnable du monde ». Chez BECKETT, le monde se transforme en une formidable machine à broyer l’individu. ce constat est d’autant plus palpable qu’il met en jeu les thèmes tels que : le sentiment d’étrangeté, le vieillissement, l’échec, la présence de la mort, l’incommunicabilité des êtres, la parole insensée.

Pour le Dr Bonnet : « Le rire n’est pas un rire de dérision mais un acte de compréhension. C’est lorsqu’on a compris le mécanisme de l’absurdité que l’on peut en rire. »

Le livre de Bornet lui permet de construire un modèle pour définir ou délimité l’absurdité. L’absurde pour lui, c’est le refus de la relation ou du rapport, c’est une attitude, l’attitude de celui qui refuse la dualité du réel.

C’est aussi le secret du nom Isaac qui se dit ITSRAQ, du verbe litsroq : rire, car lorsque Dieu dit à sarah alors qu’elle avait atteint 90 ans, qu’elle aurait un enfant, elle n’a pas douté de la parole de Dieu, elle a rit … Hi tsaraqa

Alors imaginer l’inimaginable, on était en plein dedans à l’époque d’Abraham !

Vous n’avez pas remarqué à quel point notre imagination est polluée par le fantasme de notre Ombre.

Notre Ego peut devenir un allié puisqu’il nous montre son ombre. Il nous suffit de regarder et d’accepter. Imaginer l’inimaginable ressemble à cette façon qu’a le guerrier d’avoir conscience de sa mort prochaine, cette mort devient ainsi une allié et non plus une peur dominante.

J’aimerais dire en passant que notre rate est à l’origine de ces fantasmes, c’est l’enfermement dans les croyances et la difficulté à en sortir. L’expression artistique est un bon moyen de transcender cet enfermement qui nous maintient dans l’incapacité à sortir du connu.

Lorsque nous acceptons l’illimité, c’est la densité du Temps qui est changée, puisque le temps est la fractale dont la conscience se sert dans des circonstances déterminées.

Cultiver la Bienveillance

Cultiver la bienveillance, jusqu’à ce qu’elle emplisse la conscience et se manifeste dans les paroles les regards et les intentions, implique toute une démarche. Tout commence dans la conscience. Etre conscient de chaque parole et de chaque pensée car c’est par elles que nous composons notre vie…

Cultiver la bienveillance, c’est choisir de regarder les cotés positifs des personnes que nous fréquentons. Il ne s’agit pas de perdre son discernement, mais de savoir que : ce sur quoi nous portons notre attention s’accroît…Plus vite nous comprenons la leçon d’une situation, plus facilement nous pouvons la dépasser.

La bienveillance facilite l’éveil de l’intuition… Quand la lumière est là, il n’y a plus d’obscurité….

Kryeon nous dit :

» En ouvrant la porte au domaine quantique – dans votre science – vous allez découvrir une nouvelle sorte de physique qui est toujours bienveillante, dans ses attributs. » C’est-à-dire que… Vous êtes sur le point d’ouvrir une porte sur une chose qui n’est pas linéaire, ni une distorsion ni déformée. La bienveillance pure et simple ne connaît pas ces limitations. Est-il possible qu’une énergie de la physique actuelle soit, à la fois, bienveillante et biaisée ? … Est-ce qu’un « système interdimensionnel, universel et galactique » peut être biaisé, déformé ou dénaturé ? Notre message vous semblera peut-être du style scientifique, mais ce n’est pas notre intention. Nous voulons plutôt vous montrer le fait que ceci se rapporte à » votre énergie créatrice », celle que vous expérimentez en ce moment, chers Êtres Humains »

Quand nous auront véritablement compris que la plupart de nos troubles viennent de la façon dont nous utilisons notre imagination, alors nous serons libéré … Il semble que la délivrance finale dont parle les écritures se trouve au sein de ce secret.

Miléna@OR

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