Guidances

ADN et subconscient

Les 4 lettres de l'ADN sont les 4 lettres du Nom Divin qui ne se prononce pas.

Selon les enseignements bibliques et kabbalistiques, la structure du corps humain provient de la vibration de la Parole.

La relation existant entre l’ADN et le Nom Divin (YHVH ou YHWH) a été reconnue et confirmée il y a déjà plus de 30 ans par des chercheurs en médecine utilisant les informations contenues dans Le Livre de la Connaissance : Les Clés d’Enoch®.

Les Clés d’Enoch® expliquent la parfaite corrélation entre les lettres du Nom Divin et les lettres chimiques (A T C G U). Le nom Divin est la véritable clé derrière le code de transcription de chaque lettre chimique à l’origine du développement du corps humain confirme le Dr HURTAK qui est arrivé à la compréhension qu’il existe un lien entre une série d’aspects linguistiques et génétiques lesquels sont en rapport avec la façon d’écrire le Nom Divin dans la bible hébraïque. Dans ce livre, il décrit le code de l’ADN dans une série de matrices mathématiques.

L’auteur part du principe qu’il existe un modèle génétique préexistant de l’ADN en provenance « d’en haut » qui se reflète « en bas » dans l’organisation de la matière dispendieuse de vie établissant ainsi un homomorphisme. (Homomorphisme = qui est similaire par la forme).

Le code Divin des lettres opère en une sorte de mécanisme de mise à feu pour la codification et la recodification et démontre ainsi la dépendance subtile de toutes vies par rapport aux conditions d’entrée du langage vibratoire existant sur un autre plan de réalité paraphysique.

La recherche a démontré que de soumettre un corps à différentes fréquences engendre la production d’agents anti-infectieux mais aussi que certains sons ou fréquences spécifiques peuvent même détruire directement les bactéries pathogènes qui tentent de coloniser le corps …

L’utilisation des noms divins demande de faire preuve de sagesse et de compréhension pour la profondeur de chacun des Noms et de chacune des Lettres car la tentation d’utilisation de ces noms à des fins de pouvoir ou de gains matériels existe alors que c’est d’éloge au Dieu vivant dont il est question. C’est pourquoi il est interdit d’utiliser les noms divins pour obtenir des gains financiers ou des biens matériels et la faculté d’être au service de ces noms par une conscience supérieure devrait primer. Ils ne doivent pas non plus être utilisés à des fins oisives ou être utilisés à des fins individuelles. Et plus important encore, ils ne sont qu’une toute petite partie d’une démarche holistique de recherche de sagesse qui inclue la prière, l’étude, la méditation, l’apprentissage et la sagesse d’un changement de vie.

Les Noms Divins ont été utilisés consciencieusement et prudemment par les prêtres, les rabbins, les mystiques et les enseignants religieux pour rendre service à la condition humaine sans pour autant en retirer des bénéfices personnels pour ce travail fait au service et à la Gloire de Dieu.

En bref, l’intention cachée derrière les Noms Divins est celle d’une lettre d’amour, contenant les instructions et l’invitation à faire le bien car elle est inscrite, cellule par cellule, dans notre structure humaine qui nous permettra dans le futur de retourner vers la lumière en tant que communauté œcuménique. – http://www.clesdenoch.org

Le NOM Sacré Yod Hé Vav Hé forme l’ADN codant

Les 72 NOMS sont inclus dans l’ADN non codant ou Junk ADN, ils sont le message codé inscrit dans notre ADN par les Pléiadiens qui ont assistés les maîtres généticiens de Sirius lors de la Création.

Ces 72 NOMS sont l’agencement parfait existant en chacun de nous, l’Attribut ISRAEL ou yachar EL, c’est à dire « Direct vers la Divinité ».

Les 72 Noms forment la Géométrie Sacrée de l’Héxagone au coeur de « l’Étoile de David », Étoile de Malkhout.

 

  1. Les 2 grands triangles de base : 180° x 2 = 360° (Rachel et Léa, les 2 matrices d’Israël)
  2. Les 6 angles externes de 120° chacun : 120° x 6 = 720°
  3. Les 6 angles de l’hexagone interne : 120° x 6 = 720° (les 72 Noms)
  4. Les 6 petits triangles : 180° x 6 = 1.080° (Celui d’en haut et celui d’en bas, les servantes de Rachel et Léa 180° x 2 = 360)

Le NOM Sacré se décline en 10 Attributs Divins

La première sephira: KETHER, est le pneuma (rouah) du Dieu, le Souffle. Ainsi Kether est le Livre de Saphir, la Bibliothèque du Souffle.

De rouah sort l’Air primordial, duquel naissent l’Eau et le Feu. Ce sont les secondes, troisièmes et quatrièmes sephirot. HOKHMAH, BINAH, HESSED.

Le Monde fut créé sur la base du HESSED, la Bonté, la Miséricorde. HESSED est représentée par le patriarche Abraham.

Hessed se trouve sur la droite dans l’arbre sephirotique, c’est pourquoi Yaakov appelle le deuxième fils qu’il eût de Rachel (qui représente l’Esprit), Benyamin, « Fils de ma droite »… C’est sur le territoire de Benyamin que fut construit le Saint des Saints, à l’intérieur du Temple.

Les 6 dernières sephiroth représentent les 6 directions de l’espace. GVOURAH, TIPHERETH, NETZAH, HOD, YESSOD, MALKHOUT.

Le monde des sephiroth est aussi le monde caché du langage, le monde des noms divins.

Retour sur la Création

  1. De l’Air Dieu créé les 22 lettres,
  2. de l’Eau le Chaos cosmique,
  3. du Feu le Trône de Gloire et les Hiérarchies des Anges.

Extraits du message des Hathor :

1 – « La bibliothèque du Souffle fut établie le second jour et l’Inspir et l’Expir pu commencer. Au point 5, la roue de la Vie entamait son incessant Va et Vient.
Ils me montrent le rassemblement des eaux en un point et c’est en ce point que tout commença à tourner, un Vortex fut animé.
Le troisième jour une nouvelle Force de croissance pu s’exprimer. Au point 4, « JE SUIS » montrait le bout de Son nez. Le Sens vit le jour au point 4 et nous vîmes que nous pouvions continuer.
Le quatrième jour nous pûmes installer les Signes ponctuant la sensorialité. Au point 3, il fut aisé de s’orienter ».

2 – « Le cinquième jour vit apparaître les créatures ».

3 – « Le sixième jour naissaient toutes les lignées ».

« Les Créatures du 5ème Jour » qui sont par ailleurs appelées « les Femmes » dans le Coran, sont nées de l’Eau, la Mémoire.

Ces « Créatures forment le Chaos Cosmique ou Subconscient, représenté dans le Triangle pointe en bas. Cette pointe en bas correspond à Zilpa, la servante de Léa (l’âme), qui fut la première femme de Yaakov.

Zilpa représente donc le Nephesh haBehemi ou âme animale, part animale, que l’être humain reçoit en premier au moment de sa naissance. C’est le Féminin, l’eau.

De là, naissent « Les Lignées du 6ème Jour », produites du Feu.

Puisque les 6 jours de la Création sont en fait un compte à rebours où TOUT fut potentialisé le Jour UN, par l’Alliance du Feu et de l’Eau, inscrite dès ce Jour Un en Béréshit, le premier mot de la Genèse (qui peut se dire Bérith Esh, alliance du feu), le Triangle pointe en haut vient se poser sur le triangle pointe en bas et ainsi former l’Héxagone parfait en son centre.

Cette pointe en haut correspond à Bilha, la servante de Rachel (l’esprit) qui fut la seconde femme de Yaakov, bien qu’elle fut dès l’origine sa préférée.

C’est par un subterfuge de Laban (père des deux soeurs: Rachel et Léa) qu’il dut épouser l’aînée, et attendre encore 7 ans pour épouser la cadette…

NB: Il est intéressant de noter que Laban qui veut dire blanc (lavan), est en corrélation avec Ishmaël, le premier né d’Avram (qui devint ensuite Abraham), et donc en relation avec le Foie, la Vision ou Lucifer, l’étoile du matin.

Bilha représente donc le Nephesh ha Elohi ou âme spirituelle, qui descend sur l’être humain en second à l’âge de 12 ans pour les filles et 13 ans pour les garçons et qui doit venir recouvrir l’âme animale. C’est le Masculin, le feu.

Mais ce n’est pas du tout ce qui se passe en général, et nous devons travailler à nous parfaire, comme il est dit: « Adam oved et haAdama », l’homme travaille sa terre.

L’Alliance inscrite au sein de la Création dans le mot Béréshit (Créa Six), doit donc redevenir vivante en chacun de nous, sinon nous restons comme morts, esclaves dans une prison.

Le Masculin, en exil, ne peut recouvrir le Féminin. Le Veau d’Or s’installe en nous et ne veut plus céder sa place.

ADN prison ou ADN porteur de Vie

Notre cerveau qui est un cerveau/temps engendre de multiples créations, à chaque mauvaise pensée, nous créons une entité et par résonance, nous nous entraidons malencontreusement à la faire perdurer… Au fil du temps, ces forces du mal nous manipulent…

J’avais lu cette phrase en araméen qui dit exactement: 

» Les Elâhayâ (= Elohim) qui n’ont créé ni dî-Chemayâ ni Arqâ seront exterminés de Area… » – les Elohim qui n’ont créé ni les Cieux, ni Arquà, seront exterminés de Aréa.

Les Cieux « Et haShamayim », les « là-bas », sont le monde Futur d’où descend le Nephesh haElohi, part spirituelle de l’homme.

Arquà est, vous l’avez compris, l’Hexagone parfait au sein du monde Subconscient (passé ou mémoire). et si vous avez regardé la vidéo qui relate les découvertes de Masaru Emoto, vous comprenez comment sont exterminées de Area, les formes produites par la dysharmonie.

Les forces qui se nourrissent de nos émotions, appelées les Archontes ou les Éons, sont aussi des Elohim créateurs de formes, le mot araméen est explicite: Elâhayâ, dieux de vie …, dieux porteurs d’information.

C’est la vie en terme d’information et non pas d’existence…

La H’aya, 4ème partie de l’âme, correspond à l’âme groupe, et se réfère à la matrice. D’ailleurs les animaux ont aussi une H’aya. Seuls les humains adamiques ont une Yehida (5ème partie de l’âme) ou Êtreté, capacité à rejoindre l’Unité.

Lorsque nous parlons d’ADN « prison » ou d’ADN porteur de vie, nous pouvons donc dire qu’il s’agit des deux âmes de l’homme.

La première Nephesh haBehemi, qui doit céder son droit d’aînesse à la seconde Nephesh haElohi.

C’est incroyable de voir à quel point toute cette simplicité se répète toujours et partout, dans tous les domaines, sans que nous en soyons systématiquement conscients.

La créature est intrinsèquement tiraillée entre le désir de recevoir et le plaisir de donner.

Si le plaisir est plus grand que le désir, il provoque inconsciemment la répulsion. La honte qui en découle porte sur la légitimité même du désir, et l’absence de cette légitimité implique la menace d’exclusion. C’est un cercle vicieux dont nous avons parlé à plusieurs reprises, nous vivons un paradoxe absurde, il va bien falloir l’accepter! D’ailleurs, le paradoxe, c’est ça le satan.

C’est aussi ce qui a engendré la Pulsion du Sacrifice, inhérente à la nature de l’homme.

Le Sacrifice est présent à tous les âges de l’histoire de la religiosité.

Mais si le Sacrifice réellement purificateur se maintient en notre mémoire subconsciente au point de nous inciter à repousser la légitimité d’un désir d’élévation, c’est qu’il contient potentiellement le plaisir de sa réalisation.

Dieu aussi a deux dimensions

Nous sommes fait à Son image et potentiellement à Sa ressemblance, mais nous avons le choix.

Les deux dimensions de Dieu sont:

  • Elohim la Dimension divine qui se dévoile au sein de la Nature
  • HaVayeh YHVH la Dimension divine au dessus de la Nature, qui peut changer la Nature

Vous l’avez compris, HaVayeh est l’Absolu. Nous ne pouvons aller vers l’Absolu, puisque l’Absolu n’est pas… Toute tentative nous ramène à la dimension Elohim, si haute soit-elle. La dimension Ha Vayeh nous renvoie à la relation existant entre l’ADN et le Nom Divin: le Shem Hamephorash connu de certains Grands Maîtres qui par sa prononciation permet de réaliser des Miracles.

L’histoire de Caîn et Abel relate le grand secret du sacrifice.

La Bible est explicite à ce sujet, le sacrifice doit se faire en connexion à Ha Vayeh, l’Absolu qui n’Est pas, le sacrifice à Elohim qui Est, n’amènerais que destruction … !

Le seul sacrifice que nous pouvons adresser à Elohim est la « Brisure du Coeur » le « Rouach’ Nichbérah » ou Souffle brisé, qui permet de sentir l’amertume de son âme au sujet de ses fautes passées. C’est à dire : prendre conscience de ce que l’on a été, et savoir ce que l’on aspire à être. C’est le 1er niveau de la Techouva , du Retour vers Soi, qui n’est que la prise de conscience de notre divinité intérieure

A l’intérieur de chaque homme se trouve donc une dimension animale un Nephesh haBehemi. Il y a les hommes qui ne dévoilent que cette âme animale et d’autres qui révèlent plus aisément la dimension Nephesh haElohi, l’âme Divine, pour plusieurs raisons concernant la Double Humanité.

Le Sacrifice à la Dimension de Dieu appelée HaVayeh YHVH, nous ramène au problème fondamental de la nature humaine, la Croyance, les certitudes, le Subconscient.

Êtes-vous prisonniers de vos croyances ou êtes-vous persuadés que votre Nature, votre Elohim, peut être transformé ? Voulez-vous rester prisonnier de ce Soi que vous avez retrouvé ?

L’histoire de Caïn et Abel, est celle de l’histoire de l’homme Vache et de l’homme Mouton. Le Mouton s’oppose à la Vache.

La Vache est ce qui permet à l’homme de se nourrir, ce qui peut être à la fois la charrue et l’ordinateur.

Une alternative à la Nécessité d’aller vers un But inatteignable, celui qui transforme le Monde pour le rentabiliser. La Vache c’est Caïn, le premier né.

Le Mouton permet de confectionner des habits, des vêtements, des effets …, ce qui confère au monde sa Beauté. C’est donc l’art, la musique, la peinture…

Une alternative à l’impossibilité du But à atteindre, celui qui transforme le Monde pour l’embellir.. Le Mouton c’est Abel, le deuxième.

Et Caïn tua Abel …, la Vache tue le Mouton.

Et la Résultante fut son Exil et l’interdiction de lui ôter la vie …

Caïn c’est la Nécessité de l’Amour en qualité d’Énergie Infinie, qui se créé et se recréée à chaque instant, une Volonté permanente et effective. Abel c’est ce qui limite cette énergie Infinie.

L’Exil de Caïn est ce qui permet le mouvement perpétuel qui régit l’Univers: la Gravité.

Si Caïn n’avait pas tué Abel, l’Univers n’aurait pu exister.

La Vie tend vers un But inatteignable : l’infini qui par essence n’est pas, et la Survie est ce qui organise le mouvement perpétuel par transformation qui permet d’être.

Si l’on se réfère aux Évangieles, il est évident que Judas n’avait pas trahi Jésus, le Sacrifice par le sang du Christ n’aurait pu laver les péchés des peuples….

Vous voyez où se situe le sacrifice à Havayeh YHVH ? C’est subtil!…

De la même manière, Israël doit tuer Amalec… On le fait tous les ans à Pourim !

Comme dit Rav Dynovisz :

 « Le premier tue le deuxième pour engendrer la Démocratie, tout est toujours aussi simple et toujours aussi Grave … »

Mais revenons à nos moutons!…

Car celui qui impose des limites à l’infini peut aussi imposer des limites aux limites…

Il est dit que Moïse, le Libérateur, était une réincarnation d’une partie de l’âme d’Abel et il a su ouvrir la mer rouge!

La résurrection d’Abel, du deuxième, est la promesse du retournement ultime promis à la fin des temps.

La Résistance est le dénominateur commun à tous les mondes, c’est la résistance qui permet la lumière, cela est aussi bien physique que spirituel.

Si l’homme Mouton transforme le Monde pour l’embellir c’est qu’il a la conscience d’un monde imparfait. Son Désir de trouver une alternative à cette impossibilité le mène à remplir un vide dont il ne reconnaît plus les potentialités.

L’homme mouton finit par suivre son objectif de résistance sans se retourner. Il peut devenir un adepte parfait du libéralisme s’opposant ainsi par nature à tout ce qui semble limiter son idéal de monde parfait, et trouver sa motivation dans le service d’autrui, qu’il fait sien, sans limites. La limite s’oppose donc aux limites en un mouvement perpétuel qui garantit sa survie.

Il peut aussi choisir de stopper cette course en avant et s’opposer à cette résistance illimitée, reconnaître les potentialités et s’ouvrir innocemment à toutes possibilités, passant du service d’autrui à un service de soi rédempté, où il n’est plus séparé de la Totalité. La limite s’oppose à l’illimité, un juste retour à l’origine.

Et qu’en est-il de l’homme Agneau ?

Lorsque Jésus est appelé l’Agneau de Dieu, il est considéré comme le sacrifice parfait et ultime. L’Ancien Testament, contient des prophéties concernant la venue du « Oint » comme un sacrifice de la culpabilité « (Esaïe 53:10).

La Culpabilité que la kabbale nomme le « Pain de la Honte » est à l’origine de la Brisure des Vases, la chute de l’Homme Primordial au moment de la Rétractation de la Lumière qui a permis la Création. Ce mouvement sans cesse répété produit la Gravité.

Le Sacrifice de la Culpabilité passe par la reconnaissance du geste de caïn, de Judas, le faisant notre propre Geste, un récit d’héroïsme et de courage. Car c’est de courage dont nous avons besoin pour sortir du mouvement matriciel qui nous a donné l’existence que nous choyons tant.

Le Sacrifice de la Vache rousse, la Para Adouma

Au début de la Parasha (Perek 19 ), Dieu présente à Moïse et à son frère Aaron le « ‘Hok » (statut qui n’a pas de sens logique) de la « Para Adouma. Le Hok est un décret Divin que l’on n’a pas le droit de remettre en question en dépit de son non-sens. un décret que l’on exécute dans la Joie ineffable de la Foi, de la Confiance, la plus totale. Même le roi Salomon qui connaissait la raison et le sens de toutes les lois ne savait rien de celle concernant le Sacrifice de la Vache rousse. Rachi y voit une explication perpétuelle pour le péché du veau d’or.

« Avertis les enfants d’Israel qu’ils te prennent une vache parfaitement rousse sans défaut, qui n’a pas porté le joug « (Nombres XIX, 2).

La cérémonie de la vache rousse est désignée comme un sacrifice expiatoire.

La mort, paraît être une nécessité physique à laquelle n’échappe aucun être vivant au risque de nous faire croire que toute la vie est soumise au déterminisme de la transformation. L’homme en face de la mort court le danger de se laisser subjuguer par l’idée de l’impossibilité de la liberté spirituelle. Cette menace qui tente de nous faire croire que le monde n’est soumis qu’à la loi de causalité nous rend impurs.

L’homme peut être sans péché, il peut le devenir et le rester.

La vache rousse est comme une expiation de toute la communauté qui a pu se laisser prendre à l’idée que le monde est dominé par la Nécessité de transformation, alors que nous possédons la Liberté de Transmutation.

Il est bien évident que la vache symbolise le Désir, l’homme est une machine désirante. La mission de l’homme/Adam est de canaliser ce désir sans limite, vers LE But inatteignable… Hashem.

Chez l’homme/Adam tout est illimité, seule l’Ignorance le limite… En compagnie de « l’habitude »…

L’habitude est fille de l’Ignorance, mais elle peut aussi nous servir.

L’utilisation de l’outil spirituel des 72 Noms ne transforme pas l’habitude mais transmute sa vocation.

C’est comme si nous décidions de changer la direction d’un train d’Enfer en manipulant les aiguillages. Nous ne pouvons arrêter le train, mais il changera sa direction. Nous ne pouvons pas choisir cette direction, cela n’est pas de notre ressort. C’est avec Courage, Foi et Patience que nous accomplissons cette Geste rendant grâce à la Volonté Divine inscrite en chacun de nous en ce Coeur Vivant qu’est l’Hexagone des 72 Noms, héritage transmis par les pléiadiens et le soleil central d’Alcyone.

La Tefilah (prière) ou la récitation des psaumes, sont autant de bons moyens…

miléna@OR

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